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Vous êtes de plus en plus nombreux à vous poser la question : que font les banques de mon argent ? La banque Triodos, nouveau partenaire de Natagora, soutient uniquement les entreprises locales et les initiatives communautaires, et ce, depuis 1980. Seuls des projets à impact positif sur l’environnement et la société sont financés tels que l’agriculture biologique, les énergies renouvelables ou encore des initiatives sociales. Jusqu’au 6 juillet, la Banque Triodos s’engage à verser 5€ à Natagora par tranche de 1.000€ épargnés ! 

Connaissez-vous le Réseau Nature Entreprises de Natagora ? Ce projet vise à accompagner les entreprises disposant de terrains dans une démarche environnementale favorable à la biodiversité. Suite à la diffusion de fausses informations sur ce projet dans l’émission “On n’est pas des pigeons” de la RTBF, Natagora a réagi et a obtenu un droit de réponse.

Pour fêter l’arrivée de ses protégés, le groupe de travail (GT) Martinets de Natagora sort une série de fiches-conseils qui vous aideront à accueillir dignement les martinets, mais également d’autres espèces tout aussi menacées par nos modes de rénovation et de construction modernes.

Le 28 avril 2025, le Tribunal de première instance de Bruxelles a rendu un jugement important, voire historique, pour le droit de l’environnement en Belgique. Il a reconnu que la Région flamande avait manqué à ses obligations dans la protection du Grand Hamster d’Europe (Cricetus cricetus), une espèce désormais au bord de l’extinction dans notre pays.

Le soutien financier apporté par Candriam à Natagora en 2024 a clairement fait la différence ! Grâce aux fonds octroyés par Candriam, gestionnaire d’actifs spécialisé dans l’investissement durable et responsable, et Candriam Institute for Sustainable Development Institut, Natagora a pu entretenir et préserver près de 100 hectares de réserves naturelles, notamment dans la vallée de la Semois, où les tourbières jouent un rôle crucial.

Restaurer la nature, c’est un investissement qui rapporte. Voilà ce que démontre un rapport commandé par le WWF, Natuurpunt et Natagora, qui analyse l'impact socio-économique de trois projets de restauration de la nature en Flandre et en Wallonie. Le résultat ? La restauration de la nature est un excellent investissement, avec de nombreux avantages sociaux monétisables. Et ça tombe bien : la Belgique a un an pour remettre son plan national de restauration à la Commission européenne.

Depuis le début des années 2000, un groupe de travail baptisé GT Serpents s’engage pleinement pour assurer la survie de la vipère péliade sur le sol wallon. Composé notamment d'une quinzaine de bénévoles passionnés, il se consacre à la protection de ce reptile discret et souvent mal compris, victime des préjugés et de l’agriculture intensive. En deux décennies d’efforts soutenus, ces volontaires ont non seulement permis de recenser les populations de vipère en Wallonie, mais ont également fait des découvertes majeures en matière de préservation de cette espèce en danger critique d'extinction.

Depuis un an, Natagora travaille à la réalisation du nouvel atlas floristique de la région bruxelloise. Ce travail de grande ampleur, confié à l’association par Bruxelles Environnement, est réalisé avec l’aide de Natuurpunt et du Centre d’Ecologie Urbaine, mais aussi des Bruxellois et des Bruxelloises. Pour lancer la deuxième année du projet FloraBru, un recensement participatif ouvert à tous et toutes est organisé le 17 mai au Keyenbempt à Uccle.

Le service de Care & Repair de A.S. Adventure propose de louer, entretenir ou faire réparer vos équipements outdoor. Prendre soin de son matériel, c’est aussi une manière efficace de préserver les ressources planétaires. Cette initiative brillante, A.S. Adventure la doit à Claudia Verswyver, lauréate du prix Sustainability Professional 2025. Grâce à sa vision stratégique et à son dynamisme, elle est parvenue à intégrer le développement durable au modèle économique de l’entreprise.

Antoine était un amoureux de la nature. Depuis son enfance, il passait de nombreux étés en Gaume, une région qu’il affectionnait particulièrement. Il y pêchait (ou du moins, tentait d’y pêcher), explorait les bois, et partageait des moments de complicité avec sa sœur et ses cousins dans la maison familiale de ses grands-parents. Pour lui, chaque arbre, chaque chemin, chaque brise était une source de joie et d’émerveillement.

Le 2 avril, une interview de la Ministre de l’Agriculture et de la Nature a fait réagir de nombreux acteurs, dont Natagora. Mais la réaction la plus vive a été celle de la Société Scientifique de Médecine Générale, qui n’accepte plus qu’on nie certains faits fondamentaux, et remet les pendules à l’heure. Elle appelle aujourd’hui les médecins à signer une carte blanche sur le sujet.